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Dajabon RD mercredi 23 mars 2022,
Les seuls travaux en cours sur le mur frontalier, dont le premier palais était dirigé par le président Luis Abinader le 20 février, dans le secteur de Nanguito, dans le quartier El Abanico sur les rives de la rivière Masacre qui sépare le quartier d'Ounaminthe (Haïti) et Dajabón , consiste à mesurer le terrain que les topographes effectuent depuis lundi, ont vérifié des journalistes.
La République Dominicaine mercedi 23 mars 2022
Ils mesurent à peine la terre où ils construiront un mur Dajabon / Ouanaminthe.
Les seuls travaux en cours sur le mur frontalier, dont le premier palais était dirigé par le président Luis Abinader le 20 février, dans le secteur de Nanguito, dans le quartier El Abanico sur les rives de la rivière Masacre qui sépare le quartier d'Ounaminthe (Haïti) et Dajabón , consiste à mesurer le terrain que les topographes effectuent depuis mardi, ont vérifié des journalistes.
Lors de la visite de la zone, il a été possible de voir qu'il n'y a qu'un petit tronçon d'embarillado, le même que celui où Abinader a présidé l'acte.Les journalistes ont observé que sur le terrain où commenceront les travaux, qui auront un investissement de 1 750 millions de pesos, il y a un tracteur de type bulldoc garé.
Mais les résidents locaux ont déclaré que cet appareil est arrivé quelques jours avant l'acte où la clôture frontalière a été annoncée et qu'il n'a pas été déplacé de l'endroit où il était garé.
Au milieu du lit fragilisé du Massacre dans le secteur de Nanguito, quelques femmes lavaient des vêtements, des enfants se baignaient et essayaient d'attraper de petits poissons avec des éperviers détériorés.
Hier, le gouverneur de Dajabón, Rosalba Milagros Peña, était absent de la région, le maire, Santiago Riverón, a refusé d'en parler pour des raisons évidentes.
Alors que la majorité des législateurs, dont le sénateur David Rafael Sosa Cerda, il était impossible de les localiser.
La vice-présidente de la République, Raquel Peña, a estimé que les responsables des travaux devaient travailler sur la clôture du périmètre frontalier.
Mais Listín Diario a noté qu'ils n'avaient pas encore donné la première bouchée. « Je ne pense vraiment pas que ce soit arrêté, cela a été dit dans la presse ; mais il faudrait vraiment parler aux entrepreneurs parce que ce travail a été mis en adjudication et assigné, donc ils sont censés travailler », a commenté le vice-président lorsqu'il a été approché par des journalistes dans la capitale. Il n'y a pas de brigades de travailleurs, ni d'équipes à l'endroit où le président a activé une lourde machine pour décharger une ligue de béton au milieu de l'attention de la société ; de ce travail que beaucoup défendent et que d'autres critiquent.
Dans cette province, il n'y a pas de représentants connus de l'entreprise de construction en charge de la section du mur et de la clôture qui cherchera à contrôler le trafic, tant des sans-papiers que des marchandises, du vol de bétail et d'autres activités illégales.
Les secteurs officiels ont indiqué que la société chargée de l'exécution du projet est située à Saint-Domingue.
Sur le terrain où le mur va commencer à être construit, il y avait deux gardes postés, qui gardent jalousement la zone, bien qu'ils ne se soient pas opposés à l'entrée des journalistes.
L'attente grandit à Dajabón autour du jour où l'ouvrage commencera à être construit, car jusqu'à hier le premier coup n'avait pas été donné.
Les autorités de Dajabón refusent de saisir l'affaire car tout est centralisé dans la capitale.
Tenant l'une de ses promesses lors de son premier discours de responsabilité le 27 février 2021, le président Abinader a annoncé la construction d'un mur frontalier qui servirait à améliorer la sécurité dans la zone qui sépare la République dominicaine d'Haïti.
À ce moment-là, le souverain a déclaré que le mur serait construit dans la seconde moitié de 2021, cependant, même si les raisons n'ont pas été expliquées, le projet n'a pas commencé.Maintenant, en février 2022, il a été annoncé que la scène serait prête en neuf mois deux de l'immeuble.
Les topographes ont commencé à mesurer le terrain dans la zone où commencera la construction du mur frontalier. Jusqu'à hier, le premier coup de bec n'avait pas été donné pour l'exécution
