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L'acces à l"eau, un defi à relever dans la deuxieme section communale de la Rose-bonite commune de carice.

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L'accès à l'eau , un défi à relever dans la deuxième section communale de la Rose-Bonite commune de carice.

Par : CERSNE Villardouin
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Située dans le Département du Nord-Est ,dans la commune de carice, la Rose-bonite connait des difficultés en eau depuis près de 5 à 6 ans ; après le blocage d'une pompe qui désservait la dite population.
Dès lors les résidents de la 2eme section de la Rose-Bonite sont obligés de marcher des 4 et 5 kilomètres , durant 40 à 50 minutes pour aller fouiller des sources dans une ambiance fraternelle parfois querelleuse; car cette même source est destinée pour l'abreuvage des animaux; le lavage des linges ainsi des conséquences néfastes pour la santé, telles que gratelles, infection etc.

Une femme de la dite section qui répond aux questions journaliste Jeffly Guerrier radio maguana déclare : << nou pa jwenn dlo poun bwe fasil, timoun yo ap kriye pou dlo pou yo bwe, fok nou gentan ale byen bonè nan maten avan bet yo sal sous la , pafwa se yon galon dlo nou jwenn nan sous la.>>


Kisa nou fè poun jwenn dlo nan seksyon Rose-bonite?

Dam nan répond konsa :
Nou fè de jou ap fouye yon sous sa ki rive avan an seli kap jwenn , res moun yo rete konsa pou demen >>
Nous demandons aux autorités et aux ONG de procéder au captage de la source pour alimenter la section Rose-bonite en eau.

Remarque: cette deuxième section connait des maux pénibles durant cette période de richesse car les animaux meurent par dizaines, notre seule source des richesse même la réalisation d'un lac artificiel serait satisfaisant.

Existence de la Rose-Bonite "
Le vote étant un devoir civique, nous le remplissons dans la section en élisant ASEC / CASEC, Magistrat , Député, Sénateur et le Président de la république, lesquels sont les premiers interpellés pour améliorer nos conditions.

Selon la Banque Mondiale les défis sont considérables en Haïti : 26 pour cent des Haïtiens n'ont pas accès à des sources d'eau améliorées (41 pour cent en milieu rural et 5 pour cent en milieux urbains ). Seulement 25 pour cent des ménages ont accès à une installation adéquate pour se laver les mains avec du savon.

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